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Le secteur se caractérise par la quête de milieux de vie, de vie de quartier et de communauté. L'importante présence de verdure se voit une réponse au désir des Lévisiens de vivre près de la nature, un désir ressenti dans les analyses précédentes.

 

 

 

 

Certains équipements existants du secteur possèdent le potentiel de soutenir la vie de quartier;  une quincaillerie, une clinique médicale, une épicerie, etc.

 

 

 

 

1.

2.

Un axe structurant découle de notre volonté d'étendre la polarité croissante du quartier Miscéo vers celle en devenir des galeries Chagnon. Le désir est donc de concentrer le développement vers le nord, au coeur de la ville et à proximité du Vieux-Lévis. 

 

 

 

 

3.

Cet axe justifie l'emplacement de nouveaux équipements. Il donne lieu à l'implantation d'une école primaire jumelée à un CPE, d'un centre communautaire ainsi qu'à quelques commerces de proximité et bureaux. . 

 

 

 

 

4.

Pour l'animation et la mise en effevescence des équipements, il faut nécessairement du monde, donc une offre résidentielle destinée à une clientèle variée. (cliquez sur l'image ci-contre pour activer l'animation) 

 

 

 

 

 

 

5.

C'est alors qu'intervient l'interface vert du projet. Il s'agit d'un corridor vert écologique,  souvent à l'état de friche, qui est donné à la communauté. Son rôle premier est d'agir sur les interfaces; un paysage qui répare et qui adoucit les limites souvent trop franches entre les commerces et les habitations résidentielles par exemple. Il permet la création de poches de voisinage, où les enfants vont jouer, où les voisins se cotoient. Un interface communautaire, un paysage vécu. 

 

 

 

 

 

 

En rose sont représentés les nouveaux arrêts de transport en commun qui bordent le secteur. Le corridor vert devient d'ailleurs prétexte à l'implantation de ramifications connectrices qui vont chercher ces noeuds de transport ainsi que les pôles importants avoisinants. Ces ramifications, traitées en sentiers piétons ou en rues partagées améliorent la perméabilité.  Elles conservent et offrent de nouvelles percées visuelles, améliorant ainsi la lisibilité. Elles permettent également de ponctuer les deux artères principales; soit le boulevard Kennedy et le boulevard Alphonse Desjardins, qui sont des rues présentement perçues comme étant assez monotones et très longues.

 

 

 

 

 

 

 

6.

Le secteur se divise en quatre zones clés:

 

Secteur 1 : résidentiel / commerce

Secteur 2 : agricole / serre

Secteur 3 : alimentaire / marché

Secteur 4 : récréatif / école

 

 

 

 

 

 

Secteur 1.

Le paysage d'interface s'accroche et se superpose à la friche électrique. L'interface est traité cette fois ci comme une réparation à une problématique existante; soit la contiguïté d'un dos de commerce et d'un dos de résidentiel. Interface On suggère un futur developpement d’ilôts le long du boulevard Kennedy. 

 

 

 

 

 

 

commerce

Canadian

Tire

Limite existante démesurée entre le dos de résidentiel et le dos de commerce

 

 

 

 

 

 

Proposition d'une interface réparatrice qui intègre l'agriculture urbaine sous forme de jardins communautaires, tout en implantant des maisons de ville et une ruelle lui faisant face.

 

 

 

 

 

Secteur 2.

Cette zone s’articule autour de la quincaillerie Rona. En plus d’assurer une cohexistance agréable entre le résidentiel et le commerce, le paysage d’interface vient ici s’infiltrer en permettant autant au commerce d’extérioriser ses fonctions qu’au résidentiel de profiter d’un espace vert appropriable qui génère de meilleurs milieux de vie collectifs. On propose donc une piste de réfléxion gagnant gagnant qui introduit l’idée de paysages du côte à côté qui cohabitent ensemble. Dans une idée d’une meilleure gestion des lieux qui se désertent à un moment de la journée, on peut également introduire une idée de partage des espaces, par exemple les stationnements du Rona, qui peuvent s’adapter en zones de jeux par un modeste marquage au sol ou qui deviennent locatifs pour les habitants du quartier. 

 

 

 

 

 

 

Rona

On propose une ouverture des serres de la quincaillerie sur un espace jardin partagé qui agit en zone de transition habitée faisant profiter la quincaillerie, les résidents et les passants.

 

 

 

 

 

 

L'interface des cours arrières se défini dans une dimension écologique qui recueille provisoirement l'eau de pluie et qui génère des sentiers informels et piétons qui perméabilisent les ilôts.

 

 

 

 

 

 

Secteur 3.

 

Tout comme la zone précédente,  l’épicerie peut profiter de l’arrivée du corridor écologique d’interface pour étendre ses fonctions. Pour distribuer le quartier, un réseau de rue partagées à sens unique prend place et permet d’éviter la circulation de transit dans le quartier.  Deux interfaces de cœurs d’ilot permettent aux cours arrière des maisons de ville de se cotoyer. Soit par des ruelles qui offrent la possibilité de se stationner ou par la solution présentée précédemment qui propose une noue percolante qui recueille l’eau de pluie. Les ilots se referment en leurs extrémités pour géner la notion de public / privé. 

 

 

 

 

 

 

Super C

marché

restaurant

La rue partagée intègre un travail sur la notion de seuil intime et privé. L’interface entre l’entrée de la maison et le passage semi-public de la rue est traité par une enfilade de strates, de zones tampons qui vont à la fois animer la rue et conserver l’aspect privé.

 

 

 

 

 

Donc en extension avec l’épicerie de quartier, le corridor vert est laissé plus naturel à l’état de friche et accueille un espace public permettant d’imaginer de nouvelles formes d’épicerie. Il devient un équipement pour la communauté, il est possible de profiter de sa flexibilité de pour l’utiliser à plusieurs fins ; un marché alimentaire qui vient y vendre ses aliments frais et locaux, des projections de films en plein air ou bien de petits spectacles. 

 

 

 

 

 

Secteur 4.

 

La dernière zone intègre un bassin filtrant qui suit les fluctuations des conditions climatiques. On y retrouve un café  bilbliothèque à même le bassin qui l’anime. Plus qu’une rue partagée, à ce stade, la ramification est devenue un équipement public qui supporte l’activité de l’école et du CPE. Elle soutient une activité récréative qui débute par le nouveau pavillon de l’UQAR, en pasant par le bassin filtrant, la cours de récréation de l’école, des terrains de sports jusqu'au centre communautaire. 

 

 

 

 

 

 

école

UQAR

bassin

CPE

entrainement

centre

communautaire

commerces

Finalement, le paysage d'interface se présente comme une piste intéressante pour réparer les contiguïtés difficiles du secteur. Il s'introduit également comme une plus value génératrice de milieux de vie à dimension écologique pour le développement de nouveaux quartiers. Par un traitement modeste, il met de l'avant des idées comme la rotation d'activités dans un lieu ou encore la polyvalence des espaces. Cette conception écologique du temps et de l'espace prévoit des lieux flexibles qui se transforment au fil de la journée, mais aussi au fil des saisons. (cliquez sur l'image ci-dessous pour activer l'animation)

 

 

 

 

 

 

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